Nous continuons de remonter la large plaine de l'Engilchek durant deux heures jusqu'à arriver au premier camp intermédiaire qui se situe au niveau du front glaciaire. La plaine est peuplée de nombreux lapins, c'est à peu près la seule faune que nous verrons en une vingtaine de jours avec quelques volatiles.
|
Deuxième jour de trek |
A partir du front glaciaire là c'est le début de la caillasse pour trois jours. Deux heures laborieuses avant de joindre un sentier en balcon au niveau de la moraine latérale.
|
Dans la caillase |
A partir de là le sentier est meilleur, il faut cependant redescendre et remonter à chaque franchissement d'affluent en rive gauche de l'Engilchek.
|
Vue sur le glacier depuis le sentier de la moraine latérale |
Nous établissons le bivouac au pied d'un énorme monolithe de granite, Max dormira même à la belle étoile sous la partie déversante de celui-ci.
|
Bivouac au pied du monolythe |
C'est le soir de notre premier échec gastronomique, j'ouvre une boite identifiée comme une sorte de corned-beef qui s'avère être un pâté de foie infâme ! Couplé a une polenta de piètre qualité qui ressemble à du sable dans un liant gluant cela donne un repas explosif, le tout mélangé passera laborieusement. C'est en tout cas un sacré moment de rigolade quand on observe la tête des goûteurs !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire